
Ils travaillent au fondement de la physique nucléaire, c’est en quelque sorte le fondement de ma carrière.
Quand je suis arrivé à Orsay, c’était très peu de temps après le décès de Férédic et d’Irène Joliot-Curie (les héritiers de Pierre et Marie). Une époque où la physique nucléaire était quelque chose qui paraissait positif : dans l’esprit du public, on imaginait des tas de choses, on pensait que c’était l’avenir.
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